La Grèce
(131 967 km², 10,8 millions habitants)
| Nicole, Annie, Michel et René |
Kali mèra
Cette année
notre voyage biannuel était la Grèce. Voyage planifié à la dernière minute car
notre cible était le Pérou. ‘’El Nino’’ oblige : tornades, pluies
abondantes, sites fermés, etc., nous avons donc changé de cap rapidement comme
nous savons bien le faire.
Afin de
maximiser notre visite, nous avons visités des blogs, lu des informations
pertinentes et surtout nous avons retenus les sites ‘’Exceptionnel’’ et ‘’Très
intéressant’’ du Guide Bleu de Hachette.
Nous
n’avions fait que quelques réservations : avion pour la Crète, quelques
traversiers, la voiture et les deux premières nuits d’hôtel à Athènes. Étant en
dehors de la saison touristique nous avions beaucoup de choix et ce, à des prix
très abordables.
Notre plan
d’attaque était le suivant (excluant les jours de voyage):
-
2
jours à Athènes;
-
6
jours en Péloponnèse;
-
5
jours en Crête;
-
5
jours sur les Cyclades;
-
8
jours dans la Grèce Centrale (visitée en dernier à cause de la
température…d’ailleurs nous avons été dans des villages où la neige n’était pas
loin et les feuilles n’avaient pas encore atteint leur maturité).
Nous
n’avions aucun apriori mais, à cause du climat économique et de la langue, nous
nous attendions à percevoir de la morosité et des difficultés de communication
(Nous en discuterons à la fin du blog).
Notre
budget était assez serré et nous avons pu le respecter. Le peu de touristes
nous a permis d’avoir des bons prix pour hôtels et locations de voitures.
ATHÈNES
Notre hôtel étant à 15 minutes de
marche de l’Acropole, pendant deux jours complets, nous avons pu arpenter sans avoir recours aux transports, le
centre de la ville où se trouvent tous les sites à visiter. Nous circulions
sans trop de difficulté à travers les nombreux ‘’marchands du temple’’, les
‘’rabatteurs’’ des restaurants, des taxis et des touristes.
Du temps de l’antiquité, il fallait
minimiser les distances, c’est ce qui explique la concentration des points
d’intérêts sur l’Acropole et autour de cette dernière.
Nous avons visité la plupart des points
d’intérêts conseillés :
-
L’Acropole
ainsi que son musée;
-
L’Agora
grecque et son musée;
-
Les
musées: Archéologique National, art
cycladique, art byzantin et grec antique;
-
Le
marché central, la tour des vents, la vue du haut du Lycabette;
-
Le
théâtre de Dionysos et le premier stade Panathinaïko (stade des premiers jeux olympiques
modernes).
Deux journées bien remplies sous un
soleil pas trop agressif et une température agréable. Tous les ingrédients pour
en garder un très bon souvenir.
La Promenade archéologique
‘’Grande
fierté de la municipalité organisatrice des JO de 2004, elle représente la
concrétisation d’un vieux rêve : unifier l’ensemble de la ville antique,
de l’Olympiéton jusqu’au cimetière du Céramique en longeant le rocher de
l’Acropole. Cette promenade, la plus longue rue piétonne d’Europe (3 km), a
nécessité des travaux colossaux; le résultat est réellement spectaculaire.’’ (guide
Bleu de Hachette).
En fait,
c’est un musée immense à ciel ouvert tout en ayant quelques musées parmi ces
ruines. Que d’histoire, de ruines et artéfacts. Nous avons vécu cette promenade
comme l’on visite un musée : Au tout début on porte beaucoup d’attentions
aux premiers ‘’exhibits’’ puis au fur et à mesure que l’on avance, l’attention
se relâche et la fin se fait presque ‘’au pas de course’’. Comme le disaient
Nicole et Annie : ‘’Dans le fond, tout se ressemble et comme nous ne
sommes pas des férus d’histoire et d’archéologie, il est difficile de
comprendre les subtilités et de voir les différences’’. Je peux quand même vous
dire qu’elles ont été très captivées par les différentes visites.
Sur ce parcours il y tellement d'informations et de sujets à voir, qu'il n'est pas pensable de mettre des centaines de photos. Je me contenterai seulement de quelques unes et pour plus d'informations vous avez Internet.
La bibliothèque d'Hadrien
Une vue de l'Agora Grecque
Musée de l'Agora
Dans le musée de l'Agora, mes trois compères très intéressés par les poteries
Peinture du dôme d'une église orthodoxe,
comme nous allons en voir des dizaines lors de notre voyage
Entreposage de blocs pendant la restauration (tous les sites en Grèce ont des équipes qui travaillent sur la restauration. Ces équipes sont issues des différentes écoles: Américaines, allemandes, françaises, etc.)
Petite église orthodoxe grecque
Mosaïque dans le haut du porche d'entrée
Entrée du musée de l'Acropole (pas de photos à l'intérieur)
Musée très intéressant
Note: Pour les férus d'histoire et d’archéologie, Athènes est un paradis.
L’Acropole
Sur ce rocher, qui domine la ville de plus de
70 m de hauteur, il y a l’un des ensembles architecturaux les plus remarquables
de l’histoire. (Il est inscrit au Patrimoine de l’humanité) ‘’dans ce symbole
d’Athènes, réalisé et décoré par les plus grands artistes grecs du temps de
Périclès, s’exprime toute la puissance d’une cité à son apogée.’’ Wikipédia
On y retrouve, entre-autres, le Parthénon, les
temples des diverses Athéna (Nike, Erganè, Polias), l’Érechthéion et le
portique des Caryatides. Au pied du rocher il y a L’Odéon d’Hérode et le
Théâtre de Dionysos…. Bien des ruines et des travaux de réhabilitation.
Malheureusement, Les grues et échafaudages gâchent le magnifique cadre mais,
l’on comprend très bien qu’ils sont nécessaires pour combattre la pollution et
pour la conservation du site pour les générations futures.
Vue panoramique de l'Acropole (Internet) avant les gros travaux de restauration
Vue de la colline des muses (en bas on voit le devant du théâtre de Dionysos)
La Porte Beulé avec en arrière Propylées
(impossible de prendre des photos sans personne en avant)
L’Érechthéion (Internet)
Les cariatides à l'entrée de l'Érechthéion
Fondations du Parthénon
Les travaux de restauration sont gigantesques et on ne peut pas visiter
l'intérieur du Parthénon (seulement des personnes autorisées y ont accès)
On voit bien les pierres restaurées sur le Parthénon
(au fond, au centre, le musée de l'Acropole)
Vue de la colline des muses (en bas on voit le devant du théâtre de Dionysos)
La Porte Beulé avec en arrière Propylées
(impossible de prendre des photos sans personne en avant)
L’Érechthéion (Internet)
Les cariatides à l'entrée de l'Érechthéion
Fondations du Parthénon
l'intérieur du Parthénon (seulement des personnes autorisées y ont accès)
On voit bien les pierres restaurées sur le Parthénon
Des pierres qui attendent leur mise en place
Odéon d'Hérode Atticus, sur le flanc sud ouest de l'Acropole
(toujours utilisé pour des spectacles)
Théâtre de Dionysos sur le flanc sud est de l'Acropole(au fond, au centre, le musée de l'Acropole)
Le Stade Panathinaïko ou Kallimarmaro
Il a accueilli les
premiers jeux olympiques de l’histoire moderne en 1896. Aux J.O. de 2004, il a
été utilisé pour les épreuves de tir à l’arc ainsi que pour l’arrivée du marathon.
C’est une copie
conforme du stade antique (IIème s. apr. J.C.). On dit, que la construction des
gradins de marbre, pouvant accommoder 50 000 spectateurs, avait épuisé les
carrières de marbre du mont Pentélique, immense montagne qui domine la région
d’Athènes et qui a fourni presque tout le marbre pour les constructions sur
l’Acropole.
Son marbre a une teinte ambrée tout à fait exceptionnelle,
surtout au soleil couchant (guide bleu)
Le Lycabette
Vue sur le stade Penathénaique (au coucher de soleil)
Coucher du soleil sur Athènes vue du mont
La ville d'Athènes
On peut pas dire que nous connaissons Athènes puisque nous nous sommes cantonné à l'intérieur des centres d'intérêts archéologique.
Le peu que j'ai vue ne m'a pas impressionné. De mon point de vue, elle est propre surtout dans les endroits touristiques mais les nombreux tags aussi bien sur les murs, panneaux de signalisation, les véhicules de transport en commun, etc. m’ont gênés.
Nous n’avons pas senti de pression ni d’agressivité. De plus, il était
facile d’avoir des informations car beaucoup d’athéniens comprennent et parlent
l’Anglais.
(Ci-dessous seulement quelques photos sur ce qui m'a le plus marqué de ce que j'ai vu en dehors des cites archéologiques)
Au pied de l'Acropole, une des nombreuses petites rues avec cafés et restaurants,
fréquentés par les jeunes grecs qui y sirotent leur café accompagné d'un verre d'eau.
(Si vous y voyez des gens avec de la bière,
il y a de fortes probabilités que ce soient des touristes)
Le parlement
La relève de la garde du monument du soldat inconnu.
Ces Evzones font un ballet très typique au bruit de leurs sabots cloutés ornés d'un pompon
(voir films sur You Tube).
Les tags
Quelques exemples que nous avons relevés lors de nos déplacements pédestres:
C’est en cela que je me permets de parler de « cité visuelle », c’est parce qu’Athènes est une ville-dessinée, en ce sens que « le geste de dessiner tient […] d’une opération magique qui « rend visible » avant même tout contenu métaphorique de la représentation. […] Le dessin est plutôt la trace d’un débordement ». Athènes déborde de vitalité civique, elle déborde par la surabondance visuelle qui compose ses murs. Serge Tisseron ajoute que l’acte du tracé, du dessin, réside dans le retour « d’un quelconque refoulé linguistique[1] ». Lorsque la langue est nouée, lorsqu’on offre à une population qu’un novlangue administratif désuet, l’expression colonise l’espace qui lui reste. (extrait de Athènes, cité visuelle
Note: En lisant L'article, en référence, je me rends compte que n'avait pas bien compris les messages des tagueurs et que les moments difficiles qu'ils vivent les incitent à communiquer par le dessin (tag ou graffiti).
LA PÉLOPONNÈSE
Cinq jours complets à
circuler dans cette presqu’île rattachée au continent par l’isthme de Corinthe.
Il y a beaucoup de points d’intérêt. Outre les sites historiques, les paysages,
la mer omniprésente, les cultures d’olives, d’oranges et citrons, etc. et que
dire des odeurs fabuleuses émanent des orangers.
Sur les côtes très
découpées, de nombreux petits ports de pêche
sympathiques et bien entretenus. À l’intérieur, les villages très
propres avec des gens affables et toujours prêts à nous renseigner. On était
loin de l’état morose auquel nous nous attendions.
Un environnement
agréable et Michel qui nous renseignait sur les légendes et l’histoire de la
Grèce Antique, nous ont permis de mieux comprendre et apprécier les sites
visités tels que Mycènes, Olympie, Épidaure et Corinthe qui, ‘’offrent un
résumé éblouissant de l’histoire de l’Antiquité, depuis l’époque mycénienne
jusqu’aux temps romains’’ (guide bleu).
En plus des sites
cités plus haut, nous avons visité Mistra, Nauplie, les villages perchés
d’Arcadie, Messène, Magne et fait un arrêt au canal de Corinthe.
Belle et très intéressante région.
Site antique de Corinthe
Le site antique,
champ de ruines que dominent les colonnes d’un des plus anciens temples de
Grèce, le temple d’Apollon (550-525). Une partie du temple est toujours debout
malgré les séismes et le temps. Certains disent que son architecte a fait montre de prudence extrême, peut-être
trop! Toujours est-il que certaines colonnes sont encore debout. L’agora (200 m
x 100 m) immense, est le témoignage de la richesse de la cité à son époque.
Elle n’est plus qu’un amoncellement de pierres parmi les hautes herbes.
Peu de touristes (c'est tant mieux) et ruines peu impressionnantes.
Cité Antique reconstituée (thierry.jamard.over-blog)
Temple d'Apollon
Détroit de Corinthe
Depuis le VIe siècle av. J.-C., le passage du détroit était facilité
grâce à une voie dallée munie d'ornières de guidage, sur laquelle des chariots
transportaient les bateaux. Le système appelé diolkos est parfois considéré comme le premier
transport guidé connu.
La première tentative de construction d'un canal à cet endroit est
attribuée à Néron en 67, qui inaugura les travaux avec une pelle en or. Elle
mobilisa 6 000 prisonniers juifs envoyés par Vespasien. L'année suivante, à la
mort de Néron, son successeur Galba abandonna le projet, jugé trop onéreux.
(Wikipédia)
Par la suite plusieurs tentatives ont eu lieu mais à cause de la dureté
de la roche, il a fallu attendre la dynamite (TNT).
Le canal existant a été construit entre 1882 et 1893, à l'initiative des
Français. Étant donné ses dimensions (6343 m de long, 50 m de haut, 25 m de
large et 8 m de profond), il ne permet le passage que de bateaux à tonnages
petits ou moyens et souvent ces derniers doivent être remorqués (comme sur la
photo ci-dessous).
Lors de notre visite, nous n’avons pas eu la chance de
voir un bateau emprunter le canal,
d’où la photo provenant de la toile Internet.
Note : à l’entrée du canal l’on
aperçoit un petit pont au niveau de l’eau. C’est un pont qui s’enfonce dans
l’eau pour le passage des bateaux et qui est utilisé par les piétons, les
deux-roues et automobiles.
Mycènes
Les fouilles
entreprises à partir de 1860 ont montrées que le site est occupé depuis la
période néolithique (4000 – 3000 av. J.C.). Par la suite les Mycéniens
construisent une ville (vers 1400 av. J.C .) avec des fortifications.
Cette dernière fut détruite par les guerres et incendies. Des fouilles sont
toujours en cours et le musée sur le site montre de nombreux artéfacts
démontrant la qualité de la vie et des connaissances qu’avaient les Mycéniens à
cette époque.
Ancienne Mycènes reconstitué
Vue d'ensemble du site
Des oliviers à perte de vue.
(dans la région il y plein d'oliviers et d'orangers avec des parfums très forts et agréables)
Principale porte de Mycènes
Les deux fauves protégeant la ville
Fondation de la maison de la rampe
Mur de retenue
Site des fouilles
Cercle royal des tombes
Entrée de la tombe de Clytemnestre
Annie très absorbée par les artéfacts dans le musée attenant au site.
Le trésor D’Atrée (XIII s. av. J.-C.)
Le plus beau et le plus grand tombeau à l'ouest de Athènes et c'est aussi l'un des monuments les plus importants de l'âge de bronze, le plus bel exemple de tombe à coupole. Étant donné la qualité et les décorations, il devait abriter la dépouille d'un personnage important.
Le plus beau et le plus grand tombeau à l'ouest de Athènes et c'est aussi l'un des monuments les plus importants de l'âge de bronze, le plus bel exemple de tombe à coupole. Étant donné la qualité et les décorations, il devait abriter la dépouille d'un personnage important.
Imposant dromos (couloir) taillé, en partie dans la roche
Porte d'entrée. le linteau est composé de deux monolithes dont l'un deux pèse 120 tonnes
Salle circulaire (dia. 14,20 m) avec sa voûte conique
Un étroit couloir conduit à une salle annexe creusée dans le roc
Nauplie
Ville portuaire très
agréable et bien vivante (surtout la vieille ville). Dominée par la citadelle
d’Acronauplie et la forteresse Palamède. Cette dernière, construite de 1711 à
1714, était supposée imprenable mais les occupants en furent délogés en 1715
par les turcs et reprise par les grecs en 1822. Elle a servi de prison jusqu’en
1970.
Place Syntagmatos (Internet)
Centre ville vue de la forteresse
Plage de Nauplie
Ilot Bourdzi (au XIX s. il servi de résidence au bourreau de Nauplie)
Vue sur la forteresse Palamède
Sur la forteresse
Une des nombreuses geôle (confort zéro)
Le haut de la forteresse
Olympie
La date officielle
retenue pour la naissance des jeux d’Olympie est 776 av. J.C. La première année
il n'y a eu qu'une épreuve, soit, une course de 192,27 m (la longueur du
stade).
‘’Le lieu de culte
primitif d’Olympie est un bois sacré, l’Altis, au pied du mont Kronion, dédié
au dieu Cronos. Le périmètre des temples occupe cet emplacement, qu’une
enceinte peu élevée séparait des infrastructures sportives, des bâtiments
officiels et des logements.’’(guide Bleu
de Hachette).
Pour nous, les jeux olympiques sont un évènement qui nous interpelle et de venir aux sources était un moment très émotifs.
Quoiqu'il ne reste que de ruines suite à deux séismes et de nombreuses crues de l'Alphée et du Kladeos, la restauration toujours en cours nous permet de bien visualiser l'ampleur et l'organisation du site.
Très belle visite et le musée est très instructif.
Temple de Zeus
Stade
Léodination
Les thermes
La Palestre
Léonidaion
Portique d'Écho
Philippèion
Épidaure
Plan du sanctuaire d'Épidaure : 1. Théâtre ; 2. Cimetière ; 3. Xénon (accueil et logement des pèlerins) ; 4. Bains ; 5. Gymnase ou salles de restauration (Hestiatorion) ; 6. Odéon romain ; 7. Propylée du gymnase ; 11. Stade ; 14. Autel d'Apollon ; 15. Habitation des prêtres ; 16. Temple d'Asclépios ; 17. Tholos ; 18. Abaton ou enkoimétèrion (portique d'incubation) ; 29. Temple de Thémis ou d'Aphrodite ; 31. Propylée monumental ; 33. Citerne : 37. Portique de Kotys ; 45. Temple d'Asclépios et d'Apollon des Égyptiens ; 36. Basilique chrétienne ; 46. Villa romaine.
‘’Même les esprits
les moins sensibles à l’histoire ancienne et au charme des vieilles pierres ne
résisteront pas à la désarmante beauté d’Épidaure, qui compte parmi les lieux
les plus séduisants de Grèce. Le site archéologique figurant au Patrimoine
mondial de l’humanité, s’inscrit dans un vallon planté de grands pins, oasis de
paix et de verdure perdue au cœur des montagnes arides de l’Argolie. ’’ (Guide
Bleu de Hachette).
De nombreux malades affluèrent pendant près d’un millénaire au sanctuaire d’Asclépios, dieu de la médecine.
Le théâtre,
presque intact, constitue l’une des toutes premières curiosités archéologique de
la Péloponnèse.
Les nombreuses
inondations, les tremblements de terre et la pollution sont les éléments qui
ont et ont eu des effets de dégradation très importants, ce qui nécessite de
très importants travaux de restauration.
Le
théâtre est maintenant utilisé pour des spectacles.
La théâtre de 12000 places (Éphèse en Turquie en a 25000)
Maquette du Tholos
Restauration du Tholos dans le sanctuaire
Stade
Musée
Musée
Messène (Messini)
À notre grande
surprise, nous n’étions que quelques touristes sur le site. Il est vrai que
Messène ne comporte pas de vestiges spectaculaires. ‘’Elle séduit par la poésie
de ruines dominées par un petit village blotti sur les pentes du mont Ithomi;
vergers, champs et ruisseaux se mêlent aux vieilles pierres éparpillées sur la
grande plaine’’.
Note : le
restaurant dominant le site a été, pour nous, un coup de cœur. Nous étions les
seuls touristes sous une magnifique venelle avec des gens charmants et des
grillades succulentes. C’est tout juste si ils ne nous ont pas embrassés en
partant tellement le contact et les échanges ont été agréables.
(Quand on visite au soleil couchant on voit l'ombre du photographe))
Théâtre (au loin on peut apercevoir notre restaurant)
Stade
Muraille protégeant le site de Messene de 4m max.
pour que les défenseurs puissent utiliser leurs lances longues
Une des porte
Mistra (Mystras)
''De bon matin, lorsqu'un clair soleil de printemps éclaire la ville fantôme fleurie d'anémones sauvages, les ruines de Mistra, inscrites au Patrimoine mondial de l'Unesco, offrent un spectacle relevant du peu ravissement'' (guide Bleu)
En 1249, Guillaume II Villehardouin fit construire un forteresse en haut de la colline pour protéger la région.
C'est 1308 que le développement prit son essor et de nombreux bâtiments et églises sont érigés. En 1348, la cité accède au rang de capitale de la Morée. Ayant changé de dynasties (Turcs, Ottomans, Vénitiens, Albanais) plusieurs fois, tout en restant florissante, elle fut presque abandonnée à partir de 1834. À l’exception d'une poignée de religieuses, le site est totalement déserté depuis le début des années 1950. Le bourg moderne se tient au pied de la butte.
Nous avons parcouru le site, presque seuls. De nombreuse marches parmi une végétation abondantes. Tous les les édifices étaient accessibles à l'exception du couvent. Seulement un peu de surveillance. Par contre dans les églises de nombreuses fresques et peintures bien conservées ou bien restaurées.
Visite physique (il faut monter et descendre souvent) mais très intéressante.
Vue d'une partie de la ville haute avec le fort au sommet et en avant, le monastère de la Peribleptos
Une des fresques de la Peribleptos (Internet)
Monastère de Vrontochion
Curiosité: Un église catholique romaine parmi la multitude d'églises Orthodoxes
Vue du palais que nous n'avons pas visité car fermé pour rénovations.
La forteresse
La forteresse
Le Magne messénien, l'habitat maïnote
''Les maisons fortifiées et les hautes tours accrochées aux flancs des montagnes témoignent des terribles luttes de sang qui agitèrent le Magne pendant des siècles. Leur pierre grise et leur absence presque totale de décoration rendent les paysages de la péninsule encore plus austères'' (guide bleu)Il est vrai que le paysage très minéral et ponctué de plantation d'oliviers et parmi ce décor des tours insolites entourées de maisons très austères rend le tout mystérieux.
Lors d'un arrêt dans un des villages nous avons demandé au propriétaire d'une petite fabrique d'huile d'olive de nous expliquer la fabrication. C'est avec beaucoup de gentillesse qu'il nous amené dans sa petite usine et nous expliqué, en ''grecglais'', le processus et par la suite nous offert de déguster ses produits.
Pressoir d'olives
Partie du filtrage du produit pressé
Les huiles d'olives pour la dégustation
ÎLE DE CRÈTE (du 21 au 27 avril) (8336 km², 621 340 hab.)
Nous avons pris
l’avion à partir d’Athènes pour se rendre à Chania.
Le programme prévu a
été respecté :
Deux jours dans la
partie ouest, deux jours dans la partie est et une journée au centre de l’île.
Une bonne voiture et nous voilà en affaire.
Après avoir visité de
nombreux sites Archéologiques à Athènes et en Péloponnèse, nous avons évité les
vieilles pierres afin de se limiter à la nature, aux villages et villes.
Dans l’ensemble, nous
gardons un bon souvenir de cette île grâce à l’environnement, les gens et le
rythme de vie. Des gens pas pressés, bon enfant et une ambiance sécuritaire.
Par exemple, devant laisser notre voiture au port d’Héraklion et la compagnie qui nous l’avait louée, n’ayant
pas de bureau au port, nous demandé de laisser le véhicule dans le parking du
port et de laisser la clé sous le tapis côté conducteur.
Région Ouest
À partir de Chania
(La Canée) nous avons visité la côte ouest ainsi que celle du sud
ouest : Platanos, Paleochora, la
Lagune du Balos, Réthymnon et La Canée. Malheureusement, le parc des Gorges de
Samaria était encore fermé lors de notre séjour. (D’après plusieurs guides,
c’est un incontournable)
Village de Kandanos
Mes trois compères buvant le café crétois (ils ne l'on pas aimé)
Église du village
Boulangerie du village
La Canée est une ville de Crète occidentale, dans le district régional du même nom, en Grèce. C'est la seconde ville de l'île, avec environ 55 000 habitants. Wikipédia
C'est une ville portuaire et comme la plupart de ces villes, en Grèce, elle est très animée et touristique.
Nous y avons couché trois nuits afin de parcourir la région ouest de l'île. Il ya quatre musée recommandés par les guides. Nous avons préféré y musarder tous les soirs plutôt que de revoir encore des artéfacts. Nous en avions ''notre voyage'' comme on le dit au Québec.
Marché couvert
Église sur la place centrale
Une des dizaines de petites rues avec ses terrasses très animées le soir
Vue du port (Internet)
vue du port (Internet)
Vue aérienne de Chania (Internet)
Péninsule de Gramvoussa et baie de Balos
La péninsule la plus à l’ouest de la Crète, était pendant longtemps un secret, accessible uniquement par bateau privé ou après une longue marche. Eaux turquoise magiques, lagons, plages de pur sable blanc.(Internet)Le nombre croissant de gens découvrant ce lieu ainsi que l’augmentation des moyens pour y accéder (régulièrement des bateaux d’excursions ainsi qu'une route de terre, pas très bien entretenue, aboutissant sur un parking aménagé et, un sentier mène à la plage (10' de marche)) ont malheureusement changés l'atmosphère (c'est ce que les anciens nous disent) mais c'est toujours un endroit unique sur l'île.
Réthymon
La ville de Réthymnon est la troisième ville de Crète. Située sur la côte nord, c’est une ville populaire et commerçante qui a gardé certaines traces de son passé. On discerne encore de nombreux exemples d’architecture vénitienne, mais aussi des minarets témoins de la présence turque. Hors saison, les balades dans la vieille ville de Réthymnon sont des plus sympathiques. Et puis entre la forteresse vénitienne, les musées et les mosquées, il y a pas mal de choses à voir. (Le routard)
Nous y avons passé une demi journée et ce fut très agréable.
Affichage des avis de décès
Région est
À partir de
St-Nikolaos (Saint-Nicolas) nous avons visité l’île de Spinalonga, le plateau
du Lasathis, le Cap Sidéros et la Ville de St-Nikolaos
Spinalonga (île de 8,5 hect.)
Les Vénitiens construisirent en 1579, sur les ruines d’une acropole antique, une puissante forteresse destinée à protéger le port d’Elounda. Les hauts murs et les deux bastions circulaires, sur le dessus de la colline, permettaient à l’artillerie de commander l’entrée du port d’Elounda.
Cette
forteresse, dont il subsiste d’impressionnants vestiges, était l’une des places
fortes les plus importantes et des mieux défendues de la Crète. Elle fut
l’une des seules de toute la Crète, avec les forteresses
de Souda (près de La Canée) et de Graboussa
(au nord-ouest de la Crète et de Kastelli
(Kissamou)), à ne pas tomber aux mains des Turcs,
quand ceux-ci conquirent la Crète en 1669, après le siège de Candie.
Tout au long
du XVIIe siècle,
la forteresse est restée dans des mains vénitiennes et était un refuge pour les
chrétiens se sauvant des Turcs. Après avoir résisté près d’un demi-siècle à
la suprématie turque, et après un ultime siège de trois mois, les Vénitiens, durent finalement céder la place
forte aux Turcs en 1715.
Les Turcs s’y installèrent donc jusqu’au début du XXe siècle,
quant à leur tour, ils furent chassés de Crète. Et là,
on décida d’y parquer les personnes atteintes de la lèpre en Crète.
La léproserie,
l'une des dernières en Europe, se trouvait dans le fort vénitien, restauré par les lépreux qui
y vécurent de 1903
à 1957. Il y en eut
jusqu'à 300 à 400 vivants en communauté, avec les corps de métiers qu’on trouve
dans n’importe quel village grec, du coiffeur au pope. Le dernier
habitant, un prêtre, y aurait vécu jusqu’en 1962.
Aujourd’hui
l’île est inhabitée ; elle reste toutefois un site touristique principal
de la région. On peut y accéder, très facilement, par bateau. (Wikipédia)
Note :
Nous étions tous les quatre impatients de voir cette île après avoir lu le livre
« L’Île des oubliés » de Victoria Hislop (livre de poche, 2013)
Nous étions les premiers arrivés en bateau à partir du village Elounda. Dix minutes et nous voilà arrivés sur l'île. Visite de deux heures en prenant son temps et en lisant toutes les explications. Pour aller sur le fort, les sentiers ne sont pas balisés et les gougounes à éviter.
Porte d'entrée sur l'île et le fort
La rue principale
Une des salles qui présentent les artefacts, photos et des explications sur
les moments importants de la forteresse et de la léproserie.
Lavoirs
Vues du haut du fort
Plateau de Lassithi
Il ne faut pas confondre le plateau du Lassithi avec le district régional du même nom qui couvre l'est de la Crète et qui a pour chef-lieu Agios Nikolaos (Crète) (Saint-Nicolas).
En venant d'Héraklion, la montée jusqu'au col est une promenade attrayante et les anciens moulins à vent, ex-moulins à grain, qui restent sont soit en ruines, soit aménagés en boutiques souvenirs. Le plateau du Lassithi est une cuvette marécageuse. Le plateau est parcouru par une rivière qui a besoin d'être curée pour éviter l'inondation. En effet, le plateau est en contrebas des montagnes qui l'entourent. Les éoliennes, malheureusement remplacées par des motos-pompes, servaient à pomper l'eau pour l'irrigation de ce marécage (et non pas de la nappe phréatique comme il est indiqué parfois) pour arroser les jardins potagers, les poiriers et les pommiers qui couvrent la totalité du terroir. Il y a également la présence de nombreux troupeaux de moutons
Photo des années 1930
Vue du plateau. Il y aune route qui en fait le tour et qui passe dans tous les villages.
Le plateau est en grande partie cultivé. La culture maraichère, les arbres fruitiers,
les amandiers, etc. sont les produits principaux. Il se fait aussi de l'élevage de moutons.
Qui l’eut cru! la neige recouvre le plateau l'hiver (Internet)
Vestige de moulin sur la crête des collines entourant le plateau
Route pour atteindre le plateau
Cap Sideros, plage Vaï
Le cap est situé à l'est de la Crète et à l’est du cap il y a une plage avec des palmiers appelé Vai. Elle est, parait-il, très populaire auprès des touristes. (Malheureusement, les palmiers de Vai souffrent au jourd’hui d’une invasion de charançons rouges, et ces insectes sont en train de ravager la forêt de palmiers).La plage à Vai n'est pas trop mal, mais d'après moi, ne vaut pas le détour pour ceux qui ne restent pas longtemps en Crète.
Knossos est un site archéologique crétois de l'Âge du bronze en Europe, situé à 5 km au sud-est d'Héraklion.
C'est le plus important des palais minoens et le plus connu des sites crétois
depuis sa découverte en 1878. Associé à la légende du palais du roi Minos, le site,
occupé depuis 7000 av. J.-C., fut la capitale de la Crète lors de la période
minoenne.
Son aspect
et sa taille en font un endroit remarquable et incontournable des civilisations
de l'Europe archaïque, qui reçoit un demi-million de visiteurs par an[]. Un projet de restructuration a été
annoncé par les autorités archéologiques grecques en juillet 2012[].
Les ruines
de Cnossos ont été découvertes en 1878 par un antiquaire crétois. Il a conduit
les premières fouilles, mettant au jour des magasins dans l'aile ouest du
palais, ainsi que des éléments de façades.(Wiki)
Le 16 mars 1900, un archéologue britannique, Arthur Evans,
achète l'ensemble du site et entame des fouilles de grande envergure. La
fouille et la restauration de Cnossos, ainsi que la découverte de la
civilisation qu'il a lui-même appelée minoenne, du nom du roi légendaire Minos, sont inséparables
de la personne d'Evans. Evans était assisté par Duncan
Mackenzie, qui s'était déjà signalé sur les chantiers de fouille de Milo, et par Theodor Fyfe,
un architecte de la British School at Athens. Utilisant des
paysans locaux comme fouilleurs, Evans a mis au jour en quelques mois une
partie importante d'un ensemble qu'il a considéré être le palais de Minos. En
réalité, Cnossos est un ensemble complexe de plus de 1 000 pièces
imbriquées et servait à la fois de centre administratif et religieux, mais
aussi de centre de stockage de denrées.(Wiki.)
Avec un petit guide nous
avons pu naviguer dans ce site qui comporte, en plus des pierres, plusieurs
reconstitutions peintes et ce, suivant l'imagination de Arthur Evans. Ces dernières sont
plus ou moins réussies, quelques fois surprenantes et de plus ou moins bon goût (c’est mon
opinion).
LES CYCLADES (du 27 avril au 5 mai)
Des 24 îles habitées, nous en avons
choisi trois : Santorin, Paros et Mykonos.
Santorin (91km², 10 700 hab. et 20,6 nuitées/hab. en 1997)
Trois nuits près de la
mer sur la côte nord, loin des lieux touristiques. La voiture louée, pour deux jours, nous a permis d’être plus flexible dans nos
déplacements et je peux vous confirmer qu’elle nous a été très utile. Sans elle
nous n’aurions pas pu tout voir.
C’est certainement
l’île la plus mythique et la plus intéressante à visiter. Les nombreux navires
de croisières sont là pour le confirmer.
Cette île est
très particulière à cause de sa formation géologique. En effet, c’est un volcan dont
le cratère s’est effondré tout en formant une caldeira immergée. Les restants non immergés
forment quelques îles dont la principale, avec ses falaises verticales, est
Santorin.
C'est sur l'île Lea Kameni, en face de Santorin, que le volcan a maintenant son cratère.
La capitale est Thira
et c’est elle qui est le centre principal d’attraction avec ses nombreux
magasins & boutiques et surtout ses maisons blanches, ses églises aux toits bleus, qui sont accrochées aux falaises. De partout, sur le bord des falaises
nous avons une vue magnifique sur la caldeira et sur tous les villages sur les
hauteurs.
Comme dans toutes les points touristiques accostés par des bateaux de croisières, il y a une multitude de boutiques qui vendent des souvenirs, des bijoux et des vêtements de mode. ces magasins, à Thira, sont situés dans des rues très étroites.
Nous y étions le soir du vendredi saint de la Pâques Orthodoxe et avons assisté à la procession dans le village de Pyrgos situé au centre de l'île. La vue du village tout éclairé par des pots (ou boîtes de conserve d’un litre) remplis de copeaux de bois imbibés de pétrole est vraiment particulière et féerique.
Nous y étions le soir du vendredi saint de la Pâques Orthodoxe et avons assisté à la procession dans le village de Pyrgos situé au centre de l'île. La vue du village tout éclairé par des pots (ou boîtes de conserve d’un litre) remplis de copeaux de bois imbibés de pétrole est vraiment particulière et féerique.
(C’est une île, style carte postale, qui se prête bien aux photos. Des millions doivent être prises chaqye jour.)
Ces trois photos donnent une vue circulaire de la paroi verticale (260 m) de l'île, avec les maisons blanches qui y sont accrochées
Parties arrières de la falaise
En chemin vers le vieux port. Des mulets sont là pour ceux qui ne veulent pas descendre à pied
On voit le vieux port en bas de la falaise
Un peintre au travail. Celui qui vend la peinture blanche doit faire fortune!
Un petit arrêt avec vue sur la caldeira...un pur bonheur!
La photo culte
Coucher de soleil en arrière de l'île Manolas
Pyrgos
Le vendredi saint, les religieux, en procession, entourés d’icônes circulent difficilement parmi les fidèles.
Début de l'éclairage de la ville
On distingue bien les trois croix représentant le calvaire
Pyrgos
Le vendredi saint, les religieux, en procession, entourés d’icônes circulent difficilement parmi les fidèles.
Début de l'éclairage de la ville
On distingue bien les trois croix représentant le calvaire
Paros (196
km², 12 853 hab et 47,2 nuitées/hab. en 1997)
Deux nuits à Paros. Nous avons
trouvé un B&B dans la ville de Paros, près du port, et loué une voiture
pour une journée et demie.
Île bien sympathique.
Ce n’est pas une île volcanique mais avec, en son centre, une chaine montagneuse.
Elle est beaucoup moins touristique et cela se voit très bien dans la ville de
Paros (Paroikia). Beaucoup moins de magasins ou boutiques, les bâtiments plus
modestes, moins de restaurants, etc. L’atmosphère est plus détendue et aucune
agressivité de la part des commerçants. C’est certainement ce qui explique que
les touristes y restent plus longtemps en comparaison avec Santorin (47,2 vs
20,6 nuitées/hab.)
La messe de Pâques,
célébrée le samedi à minuit, s’est déroulée dans la basilique de
la Panaghia située dans Paroikia dont la première construction remonterait au
IV siècle. Il y avait beaucoup de monde et chacun avait son cierge de Pâques.
Les grecs sont très croyants et cette messe de minuit en faisait très bien la
démonstration.
Entre-autres, nous avons bien
apprécié le petit port de Naoussa.
Deux jours étaient
suffisants pour faire la visite de toute l’île.
Trois photos de la basilique de la Panaghia Ekatontapiliani
Office de la Pâques à l'extérieur de la basilique. Il y avait des milliers de personnes avec leur cierge de Pâques (malheureusement, je n'ai fait que du film)
Naoussa
Préparation de l'agneau de Pâques
Il va certainement y avoir beaucoup de monde
Il semble voler
La place de l'église avec ses gros platanes avec leur tronc chaumé
Ruelle typique des villages sur les îles
La pêche finie il y a toujours des filets à réparer
Lefkes
Village de Lefkes
Monastère Agia Triada de Lefkes
Vue d'un des deux clochers (l'église était fermée)
Cimetière en arrière de l'église
Mykonos (105 km², 9320 hab., 127 nuitées/hab)
‘’Star incontestée du
tourisme en Grèce….son village étincelant de blancheur, coiffé de ses célèbres
moulins à vent, ses plages paradisiaques, son atmosphère déchaînée en été font
la recette d’un succès qui ne dément pas depuis les années 60.’’ d’après
‘’Vacances dans les îles grecques’’ sur Internet.
J’avoue que nous
n’avons pas éprouvé cela.
Nous avions loué une
voiture pour deux jours et après une journée nous avons décidé d’annuler la
deuxième. Il n’y avait plus rien à voir et n’étant pas du style à faire la fête
le soir, nous avons préféré utiliser la deuxième journée à faire notre lessive,
jouer aux cartes et se reposer devant la piscine donnant sur le port où les
bateaux de croisière et de plaisance ainsi que les ferrys y menaient une
activité nautique incessante que nous n’avions jamais vue auparavant dans tous les ports
que nous avions fréquentés en Grèce.
Tant qu’aux plages, nous
qui aimons marcher des heures le long de la mer sur du sable fin et dur, ce fut
une grande déception. Pour la plupart, le sable fin est remplacé par des petits
graviers ou des petits galets qui nécessitent des ‘’gougounes’’et de bons
mollets, car le sol est meuble, rendant les promenades le long de la mer très difficiles. De toute
façon, les plus connues sont obstruées, à marée haute, par des centaines de
transats.
Monastère Panagia Tourliaini
Extérieurs du village de Mykonos
Une des nombreuses chapelles parsemées dans la nature et ouverte à tous
Quatre photos donnant une idée des alentours du village
Une des 8 plages belles et célèbres sur l'île
Le phare Armenistis, situé à l'est de l'île s'élève à 184 mètres au-dessus de la mer Égée.
Son dôme de la lanterne est de couleur verte.
AU NORD D’ATHÈNES (du 6 au 11 mai)
Nous avions planifié de visiter
le nord d’Athènes pour la fin du voyage afin de s’assurer d’une température
agréable. Ce fut un bon choix puisque à certains endroits les bourgeons venaient d’éclater et la
plupart des feuilles étaient souvent d’une couleur ‘’vert tendre’’.
Dans le parcours que
nous avions dressé, nous avions cinq rendez-vous : Le Pélion, les
Météores, le Golfe d’Ambracie, Delphes et le Monastère Hosios Loukas.
Le Pélion

‘’Cette péninsule qui
enserre le golfe Pagasétique est montagneuse, ce qui la rend particulière et
agréable l’été. Elle est protégée de la forte chaleur l’été grâce à l’altitude.
Parcourue de sources et torrents, elle se couvre de fleurs au printemps et de
neige l’hiver. Un dicton local n’affirme-t-il pas : « Skier le
matin, se baigner l’après-midi »?’’ (guide bleu).
Nous avons couché
deux nuits à Volos, la métropole provinciale, très animée et agréable. De Volos
nous avons sillonné la péninsule et visité les villages tels que : Afissos,
Miliès, Makrinista, Mylopotamos, etc.
Durant la période
touristique, la circulation doit être difficile et dangereuse car les routes
sont étroites et très sinueuses…..qu’en penses-tu Nicole?.
Les villages ont
beaucoup de caractères : rues dallées, toits en lauze et une place
centrale avec des platanes souvent énormes et bien entendu l’église et son
campanile.
Village de Makrinitsa (le village que nous avons le plus aimé)
Le village au loin dans la montagne
Makrinitsa
Une des multiples fontaines
La plupart des maisons ont des toits en lauze
Au fond on aperçoit la ville de Volos
Probablement le travail de la foudre
Plusieurs rues sont dallées
Afissos
Miliès
Le campanile de l'église
Intérieur de l'église
La bibliothèque de Miliès contient 3 000 ouvrages de l'école de Miliès du XVIII s. d'une valeur inestimable. Ces livres venus de toute l'Europe, dont un traité d'ornithologie en français, imprimé à Paris en 1555, côtoient des trésors de la culture grecque. (Guide Bleu)
Nos deux filles avec le bibliothécaire
Le traité d'ornithologie en français
Les Météores
Qui n’a pas entendu
parler des Météores?
‘’Bâtis sur des
pitons rocheux de grès, véritables sculptures de pierre qui semblent jaillir de
la plaine thessalienne pour mieux se rapprocher des cieux,….défient les lois de
l’équilibre depuis des siècles. Dominant le village de Kalambaka, ce paysage,
inscrit au Patrimoine mondial de l’humanité, est l’un des plus impressionnants
de la Grèce.
À partir du XIV s. des moines construisirent leurs retraites au sommet des colonnes de roche des Météores. On y accédait d'abord par des échelles articulées, puis par des treuils manuels et les provisions étaient hissées dans des paniers à l'aide de cordages. Vers 1920, des marches ont été taillées dans le roc.
À partir du XIV s. des moines construisirent leurs retraites au sommet des colonnes de roche des Météores. On y accédait d'abord par des échelles articulées, puis par des treuils manuels et les provisions étaient hissées dans des paniers à l'aide de cordages. Vers 1920, des marches ont été taillées dans le roc.
Maintenant, il y a de longs
escaliers (entre 140 et 200 marches), un petit téléphérique (à Aghia Triada) et des treuils mécaniques. Les visiteurs doivent faire des efforts pour atteindre ces lieux saints.
Nous avons
visité quatre des monastères :
Varlaam, Le Grand Météore, Aghia Triada et ...
Dans les monastères
habités par des moines ou nonnes (4 par des moines et 2 par des nonnes), les lieux auxquels nous avions accès
étaient très réduits. De plus, les photos étaient interdites dans la plupart des
sites. Donc l’intérêt réside dans le site qui est fabuleux et son histoire.
Penser qu’il y a encore des moines et nonnes qui vivent ‘’là-haut’’ dans des
conditions loin d’être des plus confortables, nous font penser qu’il y a encore
des êtres humains qui, par leur exemple, prêchent la simplicité et la paix.
(Étant donné que les
églises y sont très petites, si il y a beaucoup de groupes avec guides, il
devient très difficile d’accéder aux points intéressants. Je n’ose pas imaginer
ce que cela doit être en pleine période touristique.)
Entre les deux pitons, en contrebas, la village de Kalambaka
Vue de l'environnement
Au centre le Grand Météore
Monastère Aghia Triada (Sainte Trinité)
Monastère le Grand Météore
Holly Monastary (nonnes)
Ces dames prêtes pour la visite
Tonneaux, pour l'eau et autres liquides, démontables pour le transport
treuil manuel que l'on retrouve dans chaque monastère
Fresques dans une petite chapelle
Pièce de bois servant de gong (que l'on retrouve dans chaque monastère)
Musée dans le Grand Météore
Téléphérique à Agia Triada
Souvent, les escaliers sont taillés dans la pierre
Quelques endroits pour le repos
Une des rares plateforme (Aghia Triada)
Les Zagoria et les gorges du Vikos (au nord des Météores)
La visite des Météores ayant pris
moins de temps que prévu, nous avons décidé d’aller faire un tour dans la
région des Zagoria.
Dans un décor de montagnes
et forêts, sont blottis 46 villages de pierre sur les versants du Pinde. Des
superbes maisons au toit de lauze et de nombreuses église ornées de fresques et
ce, sans oublier les ponts en arches au-dessus de torrents aux eaux transparentes.(Guide Bleu)
C’est une région qui
n’est pas très hospitalière durant l’hiver qui est assez long, enneigé et très
froid.
Dans le village de Monodendri, point de départ du sentier vers les gorges, et perché à 1100 m d'altitude, nous avons discuté avec une personne qui parlait l’anglais et nous avons été surpris de savoir qu’ils avaient, à peu près, le même climat que nous au Québec…qui l’eut cru?
Dans le village de Monodendri, point de départ du sentier vers les gorges, et perché à 1100 m d'altitude, nous avons discuté avec une personne qui parlait l’anglais et nous avons été surpris de savoir qu’ils avaient, à peu près, le même climat que nous au Québec…qui l’eut cru?
Ayant peu de temps et déjà visité de nombreux villages, nous nous sommes directement dirigés vers les gorges.
Les gorges du Vikos étaient pour nous la principale attraction.
Nous qui, à travers nos différents voyages, avons vu beaucoup de gorges, celles
de Vikos ne nous ont pas laissé indifférents. D’ailleurs elles sont inscrites
au livre de Guinness (1997) comme étant la plus profonde (900m) avec une
largeur de 1100m au sommet.
Village de Monodendri (départ du sentier pour les gorges) dans Les Zagoria
Chapelle se trouvant sur le sentier vers les gorges
(la toiture est recouverte de tuile de lauze)
Le sentier dallé vers les gorges
Au bout du sentier se trouve une chapelle accessible à tous
Des fresques qui essayent de passer à travers le temps
La partie étroite d'une gorge
Il ne faut pas avoir le vertige pour circuler sur ce tronçon (pas obligatoire)
Golfe d’Ambracie
Une nuit à Nicopolis et un petit
tour autour du golfe. La fatigue se faisait sentir et l’envie de voir des
vieilles pierres n’était pas au rendez-vous. C’est donc ‘’tranquillos’’ que
nous avons sillonné dans la région.
Note : Nous avons sauté Dodone,
Parga et Arta afin de mettre un petit frein à notre soif de visites.
Préveza
Bâti sur une péninsule entre la mer Ionienne et le golfe d'Arta, Preverza est un petit port de plaisance avec des petits restaurants sympathiques.
La forteresse, les ruelles et le port sont autant de points pour promenades et détentes
Vue prise du fort. La plage est au fond de la baie à droite
Le fort est dans la partie boisée (au fond) |
Plage avec les ''maudits'' galets |
| Vue intérieure du fort |
| Dans le fort |
Delphes (Delphi)
Le site est occupé dès l’époque
mycénienne puis abandonné après 1200 av. J.-C. et renaît au VIII siècle av. J.-C. et perdra tranquillement de
son mythe et ne sera plus entretenu à partir du du milieu du IV siècle av.
J.-C.. Il sera dépouillé et tombera en ruine au fur et mesure des siècles et
c’est l’empereur Constantin qui en donna le coup fatal au IV siècle de notre
ère.
‘’Delphes est le site d'un
sanctuaire panhellénique, situé au pied du mont Parnasse, en Phocide, où
parlait l'oracle d'Apollon à travers sa prophétesse, la pythie ; il abritait
également l'Omphalos ou « nombril du monde ». Wikipédia’’. Il était, au VIe siècle av. J.-C., le
véritable centre et le symbole de l'unité du monde grec.
Ce sanctuaire était très vénéré et de
nombreux pèlerins y venaient chaque année y écouter les oracles d’Apollon,
suite aux interrogations des pèlerins messagers de villes, à travers la pythie
qui était, au début, une jeune vierge puis par la suite une femme âgée qui
quittait sa famille pour vivre dans l’enclos sacré et mener une existence
chaste et irréprochable.
On y organisait des fêtes et des jeux.
C’est à la fin du XIX siècle que la
décision d’explorer le site a été prise. Au terme d’une dizaine d’années
l’essentiel est dégagé : sanctuaire d’Apollon, stade, gymnase et
sanctuaire d’Athèna. Les travaux de consolidation n’ont jamais cessé depuis. Le
trésor des Athéniens, l’un des plus beaux monuments de Delphes, a été
entièrement restauré.
Site classé au Patrimoine mondial de
l’humanité. Ci-dessous une reconstitution du sanctuaire d’Apollon.
Allée amenant au stade
Temple d'Apollon
Vue sur le temple d'Apollon ainsi que sur la voie Sacrée (dallée)
Vue sur une partie du sanctuaire d'Apollon
Trésor des Athéniens
Théâtre
![]() |
| (Internet) |
Stade
Colonne serpentine
Les jumeaux d'Argos
Antinoüs
Colonne des danseuses
Le Sphinx (il coiffait, à plus de 12m de haut, la colonne de Naxiens)
Aurige de Delphes
Monastère Hosios Loukas (Situé près de Delphes (36 km)
et à 170 km d’Athènes)
Le monastère est dédié à l’ermite
Luc (Loukas) le Stiriote et compte parmi les monuments les plus importants de
la Grèce (inscrit au Patrimoine mondial de l’humanité).
.
L’aristocratie byzantine de Thèbes
ainsi que l’empereur ont soutenu la construction et les riches décorations.
Tout a été interrompu lorsque les latins ont imposé le culte romain.
Par la suite les moines n’ayant plus de financement l’ont seulement maintenu en
état. Quoique des travaux importants ont eu lieu suite l’effondrement de la
coupole après un tremblement de terre (fin XVI s.)
Il possède un cycle unique de
mosaïque ainsi que des fresques remontant à l’an 1000. Il fut un site de
pèlerinage très important au Moyen Âge.
Sa vocation de ‘’reliquaire’’ et de
lieu de pèlerinage lui confèrent une vocation particulière et deux manifestations
annuelles importantes ont lieu pour l’anniversaire de Saint-Luc (7 fév.) et
pour celui de la ‘’translation’’ de ses reliques (3 mai).
Musée
Mosaïques de l'Église St-Luc
La vierge en majesté de l'Abside avec, dans la coupole, une scène de la Pentecôte
Le Christ Pantocrator
Le lavement des pieds
La crucifixion
La coupole centrale Jésus-Christ avec sa cour d'archanges
Le baptême
Sarcophage marquant l'emplacement du tombeau de St-Luc
Tombeau d'un des premiers abbés
Plafond d'un des ateliers de pressage des olives
DERNIER JOUR (12 mai)
Le dernier jour a été
l’occasion de revoir Athènes. Nous y avions nos repères ce qui nous a permis de
mieux gérer notre temps. Nous avons refait une partie des parcours déjà
empruntés, passé du temps à siroter une bière entourés de grecs dégustant leur
café et pour certains jouant aux cartes. Nous étions détendus et ouverts à
apprécier l’ambiance propre aux athéniens et ce, face à l’Acropole…..formidable!
Automobile:
Suivant
quelques personnes consultées, nous nous sommes équipés pour une température de
printemps avec quelques vêtements d’été ce qui a nécessité deux valises par
couple. Oups! Qui dit quatre valises, dit un grand coffre afin de les soustraire à la vue de gens malintentionnés puisque les valises étaient souvent dans la
voiture lors de nos visites (nous ne restions, au maximum, que deux nuits par
hôtel).
Dès la première prise en charge de
la voiture, nous avons pris conscience que la grandeur de cette dernière ne nous convenait pas (en Amérique du nord, petite voiture signifie
gros gabarit en Europe) et nous avons dû laisser une valise dans un hôtel le
temps de la location. Par la suite, nous avons annulé nos réservations faites sur
Internet et avons loué des voitures plus logeables à des compagnies locales.
Peut-être, à cause de la période
hors saison, nous avons constaté que les locateurs locaux étaient très souples
et qu’ils étaient heureux de nous louer une voiture à des prix défiant toute
concurrence (pas de suppléments pour un deuxième chauffeur ou bien une prise en
charge dans un site différent de la remise, pas de regard sur les bosses ou
éraflures, etc.). Un des locateur nous a même dit : «En Grèce nous ne sommes pas riches, mais nous sommes
généreux».
Nous avons
trouvé la conduite facile, agréable et sécuritaire alors que les Guides
touristiques nous disent de faire très attention car les grecs ont une conduite
très cavalière. Grâce au GPS que nous avions amené et les nombreux Grecs qui
comprenaient l’anglais, nous n’avons pas eu trop de problèmes pour nous
orienter même si les noms sur les
panneaux routiers sont écrits en alphabet grec alors que notre carte
routière et celle du GPS avaient les noms en lettres latines.
Hôtels
Nous
savions que nous étions en dehors de la saison touristique et que nous pouvions
facilement trouver des chambres rencontrant nos prix (max. 60€, avec le petit
déjeuner, par nuit). Seulement sur Mykonos nous avons triché afin d’avoir une
chambre donnant sur la mer. Le confort était raisonnable et toujours un
personnel très affable.
Nous avons
été les premiers clients dans deux hôtels
et plusieurs fois les seuls touristes étrangers. Chaque fois, nous avons
eu un accueil chaleureux. Par contre, les déjeuners (petits déjeuners pour les
européens) n’étaient pas toujours à la hauteur de nos attentes, mais « Que
voulez-vous, ce n’est pas tous les jours Byzance! »
Même si
nous avons passé beaucoup de temps dans les hauteurs, nous avons beaucoup
priorisé les nuitées près de la mer. En Grèce, les villes portuaires sont
toujours animées et très vivantes et ce jusqu’à des heures tardives.
Restaurants
Tout le monde connaît la cuisine
grecque : salades, moussaka, paportsâkia, taramosalata, grillades
(poissons, pieuvres, porcs, agneaux), féta, etc. Les portions étaient supérieures à nos
appétits et très vite nous n’avons pris qu’un plat par personne que nous
partagions avec nos conjoints. Le coût moyen par couple, incluant la bière de
50 cl ou le 50 cl de vin, a été de 25€. Le service et les taxes étant incluses
cela rendait le paiement du repas très facile et sans surprise, au contraire de
chez nous, en Amérique du nord.
Par contre, dans les restaurants que
nous fréquentions, nous avons eu l’impression d’avoir des menus très
ressemblants. Les produits locaux et la pêche du jour amenaient un peu de changements.
Nous avons été surpris par la
gentillesse des serveurs et, à part quelques exceptions, nous avions soit un
apéro ou le dessert avec un petit verre de grappa et quelques fois les deux et
ce, gratuitement. Est-ce automatique ou bien parce qu’il n’y avait pas beaucoup
de monde? Nous n’avons pas cherché à avoir la réponse.
Dans
l’ensemble nous gardons un bon souvenir de la bouffe, mais, comme je le disais
à ma conjointe, cela va prendre un peu de temps, après le retour à la maison,
pour que je désire une salade grecque.
Gentillesse, sécurité, propreté
Nous avons parcouru
presque toute la Grèce et jamais nous nous sommes sentis malvenus ou en
insécurité. En général, les gens étaient accueillants et prêts à rendre
service. En cas de problème ils ont toujours fais leur possible pour nous
aider à le régler.
Nous avons aperçu,
une seule fois dans la Grèce centrale, un camp de réfugiés et rarement de la
pauvreté. Dans l’ensemble, nous avons trouvé le pays très propre : pas de
saleté qui traînent, les villages bien entretenus (beaucoup de maisons venaient
d’être repeintes). Bien sûr, des régions, comme la Péloponnèse, respiraient
plus la richesse que d’autres mais c’est un phénomène que l’on retrouve dans
tous les pays.
Seule ombre au
tableau, à Athènes, dans certains quartiers, les tags étaient excessifs et
dérangeants.
Mi-avril mi-mai fut un excellent choix pour visiter ce pays. Ce ne fut ni trop chaud, ni trop froid. Le soleil nous a honoré de sa présence presque chaque jour afin de nous permettre de nous émerveiller devant tant de splendeurs historiques.
Mi-avril mi-mai fut un excellent choix pour visiter ce pays. Ce ne fut ni trop chaud, ni trop froid. Le soleil nous a honoré de sa présence presque chaque jour afin de nous permettre de nous émerveiller devant tant de splendeurs historiques.
Ce voyage, sans anicroche, a été un ‘’coup de cœur’’.
Andio
Note :
Dans ce blog nous
n’avons pas la prétention d’y rapporter l’histoire de la Grèce…elle mérite
beaucoup mieux.
Nous voyageons
décontractés et notre but est d’avoir du plaisir sans se casser la tête. Nous prenons
beaucoup de photos mais peu de notes. Nous essayons de faire apprécier, à nos
familles, amis ou relations, les endroits que nous visitons et ce, sans
prétention.
Si vous constatez des
erreurs ou omissions soyez indulgents et dites-vous que nous sommes des amateurs.


































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